La foi en la Bonne nouvelle a vocation à se substituer aux dévotions païennes. Mais la psychologie primitive naturellement religieuse de l'homme peut lui opposer ses résistances: c'est le danger qui attend le chrétien. En somme, la religiosité naturelle ou instinctive de l'homme le fait pencher plutôt vers le paganisme: il faut au chrétien faire un effort constant pour que "le vin nouveau ne soit pas mis dans de vieilles outres, sinon les outres éclatent et le vin se répand" (Matthieu 9,17)